Une nouvelle étiquette énergie pour promouvoir l’offre et guider la demande de produits économes en énergie

Depuis plus de 20 ans, l'étiquetage énergétique de l'Union européenne présente sur les produits est un moteur essentiel de l'innovation et du développement du marché des technologies de produits économiques en énergie. L'étiquette a stimulé à la fois l'innovation de la part des fabricants et la demande de produits à faible consommation d'énergie de la part des consommateurs et acheteurs professionnels.

Cependant, le concept d'étiquetage actuel utilisant les classes A +++ à D est devenu pesant et moins transparent pour les consommateurs et a ainsi perdu une partie de son influence initiale. Par conséquent, l'Union européenne a décidé de revenir au concept d'origine des classes A à G, ce qui impose un remaniement de ces classes en fonction des évolutions de la technologie et du marché.

Le but du projet LABEL2020 est de faciliter la transition du marché vers les nouvelles étiquettes énergie. Ce projet a démarré en juin 2019 et durera jusqu'en janvier 2023. Il est coordonné par l'Agence autrichienne de l'énergie et se déroule dans 16 Etats membres de l'Union européenne.

Le projet LABEL2020 a pour objectif de soutenir :

• les consommateurs et les acheteurs professionnels, au moyen de campagnes d’information, de services et d’outils performants,
• les distributeurs, dans la mise en œuvre correcte et efficace de la nouvelle étiquette énergie dans les points de vente physiques et en ligne,
• les fabricants, pour que l’étiquetage et les informations relatives aux produits qu’ils fournissent soient correctes,
• les décideurs politiques, relais et autres parties prenantes dans l’utilisation et la promotion de la nouvelle étiquette énergie  au sein de programmes, initiatives et projets nationaux.

_{Le projet Label 2020 a reçu un financement du programme de recherche et d’innovation Horizon 2020 de l’Union européenne en vertu de la Convention de subvention Nº 847062. Le contenu de ce site web relève entièrement de la responsabilité de ses auteurs. Il ne représente pas nécessairement l’opinion de l’Union européenne. Ni l’EASME ni la Commission européenne ne sont responsables de l’usage qui pourrait être fait des informations qui y sont contenues.}